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Think Sport : « Diffuser sans travailler sur le narratif tue votre produit » (L. Salvaudon, RMC Sport)

Paris - Actualité n°339396 - Publié le
©  Seb Lascoux
Médias : nouveaux formats et nouvelles consommations - ©  Seb Lascoux

« Les réseaux sociaux sont une arme pour la narration du sport. Diffuser sans travailler sur le narratif avant et après tue votre produit à la longue. Certains ne comprennent pas qu’ils ne doivent pas juste trouver un diffuseur, mais un diffuseur capable de faire du narratif avec le bon code des plateformes… Nous, les plateformes, nous devons remettre en question la façon de raconter le sport, mais les fédérations et les clubs doivent se remettre en question sur la valeur réelle de leur produit », déclare Laurent Salvaudon Directeur de la rédaction des chaînes TV et streaming @ RMC Sport
, directeur de la rédaction des chaînes TV et streaming du groupe RMC Sport Activité : bouquet de chaînes TV payantes Création : 03/07/2018 (dénommé SFR Sport auparavant) Actionnariat : CMA Médias (filiale de CMA CGM), acquisition des droits TV sportifs toujours gérée par… , le 03/10/2024.

Laurent Salvaudon s’exprime lors de la table ronde « Médias : nouveaux formats et nouvelles consommations » organisée lors de la huitième édition de l’événement Think Sport, à l’Hôtel des Invalides (Paris). Il intervient aux côtés de Géraldine Pons Directrice des Sports @ Eurosport France
, directrice des sports du groupe Eurosport Secteurs d’activité : groupe de TV sportive payante, multimédia Création : 1989 Siège social : Issy-les-Moulineaux (France) Actionnariat : Warner Bros. DiscoveryDiffusion : - Eurosport 1 … France, et Florian Jacob Responsable marketing et activation @ Fédération Française de Tennis (FFT)
, responsable marketing et activation à la Fédération Française de Tennis Activité : Fédération française de tennis, beach tennis et padel Création : 1920 (Fédération Française de Lawn Tennis) ; 1976 (FFT) Président : Gilles Moretton, depuis 2021, réélu en 2024Directeur… .

« Nous réfléchissons actuellement à différentes solutions et différents projets à mener sur l’esport, sans trop s’éloigner de notre ADN et tout en s’assurant que cela ait du sens avec notre offre. Nous devons également développer un business model qui soit viable pour toutes les parties prenantes », indique Géraldine Pons.

« Nous concevons des produits et les poussons avec nos streameurs partenaires. Ils permettent aux fans mais aussi aux médias de rentrer dans un univers différent, comme c’est le cas avec Domingo pour le padel. Un ambassadeur permet de mettre la discipline en avant, et c’est très important pour le padel, qui n’a pas de tête d’affiche française », ajoute Florian Jacob.

« La chaîne Twitch est devenue un produit d’appel de la chaîne payante » (L. Salvaudon, RMC Sport)

Laurent Salvaudon - ©  Seb Lascoux

• « Twitch est une plateforme de live où sévissent majoritairement des joueurs de jeux vidéo et des gens qui discutent de tout et de rien. Quand on fait de la télé depuis 15 ans et que l’on vient vous chercher pour cela, il faut avoir l’honnêteté de dire que l’on ne s’y connait pas. Je suis donc allé fouiller et je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas d’offres de sport.

• La cible sur cette plateforme est très différente de celle que nous avons habituellement en TV. L’audience de RMC, média surtout connu pour sa radio, est plutôt âgée. C’était donc l’occasion d’aller chercher cette nouvelle cible plus jeune, mais aussi de nouveaux revenus en y plaçant de la publicité et des sponsors.

• Il faut se remettre en question, comprendre ces nouveaux codes, aller chercher les personnes qui savent faire, et aller chercher les personnes qui s’y connaissent et caler des droits. Notre chaîne Twitch est devenue un endroit où nous pouvons proposer des choses qui n’existaient pas sans gêner la chaîne payante qui diffusait, à ce moment-là, la Ligue des champions (2021-2024). Surtout, cette chaîne est devenue un produit d’appel de la chaîne payante. Au moment où nous essayons de faire monter le MMA « Mixed Martial Arts » / ”Arts martiaux mixtes”
Sport de combat qui a vu le jour dans la seconde moitié du XXe siècle et qui associe de nombreuses disciplines : boxe, jiu-jitsu, lutte, etc.
, elle permet de diffuser les combats de début de soirée et aux personnes qui animent ces combats d’aller teaser le combat principal sur la chaîne payante en France. »

« Nous allons accélérer sur cette chaîne en allant sur d’autres sports et d’autres émissions »

• « Finalement, la chaîne est rentable. Nous avons désormais un demi-million d’abonnés sur notre chaine Twitch alors que celle-ci est géo-bloquée en France en raison des droits. RMC est devenu la chaîne Twitch numéro de sport en Europe. Nous allons accélérer sur cette chaîne en allant sur d’autres sports et d’autres émissions. Nous avons aussi un projet de studio uniquement dédié à Twitch. Une évidence s’impose aujourd’hui. Twitch n’était à la base qu’une opportunité. Maintenant, c’est une vraie stratégie.

• Nous avons créé trois nouveaux postes puisque les personnes qui gèrent les contenus ne sont pas des journalistes. Ils ont dû s’intégrer dans une rédaction qui a réussi en radio, en TV, qui fait beaucoup d’argent sur ces supports-là. Ils ont dû se faire accepter, amener leur expertise, intéresser les journalistes traditionnels et leur faire comprendre qu’ils étaient l’extension de leur marque. Créé une chaîne Twitch, ce n’est pas si simple. »

« L’objectif n’est pas de faire monter le sport, mais de faire monter des personnalités »

• « J’ai demandé à RMC de miser sur le MMA puisque ce territoire n’était pas préempté par la concurrence. C’était un sport de niche avec un nombre de suiveurs peu élevé. Acheter des droits pour vendre des abonnements, cela allait être difficile. Alors, tout est partie de la question suivante : comment faire en sorte que plus de personnes s’intéressent au MMA ? Nous avons compté 16 millions de followers sur RMC Sport et tous ses canaux. Si on commence à créer des contenus sur le gratuit pour raconter les combats du weekend, dans deux ans, cela peut être rentable.

• RMC a donc fait l’acquisition des droits de l’UFC Ultimate Fighting Championship et de toutes les autres ligues, en déployant un narratif grand public, qui parle à tout le monde : un combat, c’est deux personnes qui viennent avec leur personnalité, leurs problématiques et leurs enjeux, et à la fin il y aura une personne qui aura raison et une autre qui aura tort. Factuellement, si vous regardez la société actuelle, c’est la même chose lors d’un débat politique.

• Nous avons établi un storytelling commun à toutes nos équipes. Sur YouTube, nous avions un savoir-faire de documentaire mais moins de réseaux sociaux. Nous avons donc appliqué ce storytelling unique pour raconter le combat du weekend à la fois sur des documentaires d’1h30, sur des vidéos TikTok et sur des live Twitch.

• L’objectif n’est pas de faire monter le sport, mais de faire monter des personnalités. Ciryl Gane a été notre première star, puis Cédric Doumbè, Benoît Saint-Denis, etc. Pour le MMA, sur le dernier weekend (UFC Paris, le 28/09/2024), c’est 115 millions de vidéos vues sur nos réseaux sociaux. Le weekend est donc très rentable. Et vu que le MMA se déroule pendant 50 semaines par an… »

« Il faut créer des verticales par sport et attraper tout ce qui concorde avec ce sport »

• « Nous faisons le même travail sur le tennis de table, avec les frères Lebrun, dont nous venons d’acquérir les droits. Il faut un sportif français avec un potentiel, un sport qui en live soit agréable à suivre et découpable par sa nature. Si les trois critères sont réunis, alors il est viralisable.

• Les réseaux sociaux sont une arme pour la narration du sport. Diffuser sans travailler sur le narratif avant et après tue votre produit à la longue. Certains ne comprennent pas qu’ils ne doivent pas juste trouver un diffuseur, mais un diffuseur capable de faire du narratif avec le bon code des plateformes… Nous, les plateformes, nous devons remettre en question la façon de raconter le sport, mais les fédérations et les clubs doivent se remettre en question sur la valeur réelle de leur produit.

• Il faut créer des verticales par sport et attraper tout ce qui concorde avec ce sport. Avoir un bout de basket, un bout d’un autre sport… Aujourd’hui c’est très compliqué. Il faut des verticales. Pour l’instant, notre modèle repose sur le MMA, le tennis de table et bientôt nous nous attaquerons à d’autres sports qui selon nous ont de la valeur et sont sous-cotés. Nous regardons en ce moment le running et l’esport. »

« Les joueurs esport doivent accepter que le diffuseur soit l’exclusif diffuseur »

• « Nous voulons démocratiser le MMA. C’est un sport très particulier, qui restera violent. La démocratisation est indispensable. À l’antenne, on commente ce sport en expliquant et en répétant les règles. Nous avons diffusé les derniers combats sur une chaîne TNT Télévision Numérique Terrestre en co-diffusion (les trois derniers combats de l’UFC Paris sur RMC Découverte le 28/09).

• La première fois que l’on est venu me voir pour diffuser un combat, c’était le combat entre Ciryl Gane et Francis Ngannou pour la ceinture mondiale des poids-lourds de l’UFC. Le MMA est la maîtrise de tous les sports de combat. Un combat à l’UFC, la plus grande ligue de ce sport, en catégorie poids lourds. On désigne donc l’homme le plus fort du monde. Tout ce que nous avons écrit a été axé sur ce narratif-là. Les gens sont-ils venus regarder du MMA ? Non, ils sont venus voir si un Français allait devenir l’homme le plus fort du monde à l’issue d’un combat diffusé à 6 heures du matin un dimanche.

• 17 millions de personnes en France jouent à League of Legends. Je ne veux pas les ignorer, mais comment les attirer ? Par notre chaîne combat ? Non. Est-ce que l’esport a sa place sur une chaîne Twitch de sport ? C’est une bonne question. Les joueurs esport doivent accepter que le diffuseur soit l’exclusif diffuseur, et il faut que les joueurs acceptent d’envoyer leur million de followers sur la chaîne qui diffuse la compétition. Sans cela, ça ne marchera pas financièrement. »

Laurent Salvaudon, directeur de la rédaction de RMC Sport

Parcours

RMC Sport
Directeur de la rédaction des chaînes TV et streaming
SFR Sport
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Canal+
Rédacteur en chef de l’émission J+1
beIN SPORTS France
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L’Équipe
Chef d’édition de l’émission « L’Équipe du soir »
M6
Chef d’édition émission « 100 % Foot »
Le Parisien
Journaliste Rédacteur quotidien « Aujourd’hui Sport »
Orange
Journaliste deskeur Orange Sport Info - Sporever

Fiche n° 45891, créée le 26/04/2022 à 18:56 - MàJ le 25/11/2024 à 15:37

« La plateforme Max a joué un rôle prépondérant pendant les Jeux de Paris 2024 Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.  » (G. Pons, Eurosport France)

Géraldine Pons - ©  Seb Lascoux

• « La plateforme Max a joué un rôle prépondérant pendant les Jeux de Paris 2024 pour une raison simple : Warner Bros. Discovery était le détenteur exclusif des droits de diffusion payants en Europe. Nous avions l’intégralité des Jeux.

• Nous avons proposé 3 800 heures de direct, plus de 4 000 avec les émissions. Nous avons proposé un dispositif d’une exhaustivité sans pareil, avec jusqu’à 62 canaux de diffusion en simultané en direct. Les sports équestres ont été diffusés exclusivement sur Max.

• Max a la chance de réunir énormément de domaines : la fiction (HBO, Warner Bros), l’information (CNN), le sport (Eurosport), le documentaire (Discovery) … Ce panel très large de consommateurs n’était pas forcément venu pour le sport, mais a vu les Jeux sur la homepage de la plateforme. A l’inverse, le public des Jeux a également exploré le reste de l’offre.

• Max est une plateforme très ergonomique : elle propose beaucoup de valeur ajoutée pour ses utilisateurs via des QR codes, qui redirigent vers des articles ou de la data, ainsi qu’une hiérarchisation par sport, par jour, par nation… Tout cela a été très bien accueilli. »

« L’abonnement en direct sur Max a été multiplié par 4 par rapport à Tokyo 2020 »

• « De manière générale, notre couverture des Jeux a suscité une appréciation très positive de la part de l’écosystème du sport et de nos utilisateurs. L’abonnement en direct sur Max a été multiplié par 4 par rapport à Tokyo 2020 (par rapport à Eurosport Player, avant le lancement de Max à l’été 2024). Cette hausse d’abonnements à la plateforme est de 77 % en Europe : cela signifie que 215 millions de spectateurs ont suivi les Jeux de Paris 2024 sur Max.

• En moyenne, les audiences TV se sont élevées à 200 000 téléspectateurs entre 7 et 1 heure du matin. Nous avons enregistré des pics d’audience dignes de chaîne en clair, avec 1,3 million de téléspectateurs et 1,2 % de part de marché.

• Sur les plateformes, 174 millions de pages ont été vues sur Eurosport.fr avec 8,5 millions de visiteurs uniques, et les vidéos postées sur les réseaux sociaux ont généré plus d’un milliard de vues. Tout ceci est le produit de notre stratégie tout digital, mise en place depuis quelques temps et accélérée à l’occasion des Jeux. »

« Les émissions que nous proposons peuvent commencer en TV et finir sur Max »

• « Notre stratégie 360° repose sur la complémentarité : nous ne créons pas de contenu pour une plateforme spécifique, mais un contenu qui puisse être diffusé sur les trois (en TV, sur Eurosport.fr et sur Max). Nous adaptons évidemment la durée : certains éléments sont remontés pour les réseaux sociaux, ou passés en TV sous forme d’extrait.

• Pour l’Open d’Australie, nous avons diffusé des matches sur les chaînes Eurosport 1 et 2. Mais lors des premières journées, il y avait parfois 16 matches en simultané : le reste des matches était donc proposé sur Max, dont 95 % avec des commentaires. De la même manière, les émissions que nous proposons peuvent commencer en TV et finir sur Max. Nous proposons un complément sur Eurosport.fr avec des papiers de fond, des analyses, des entretiens et des contenus experts. Des formats coulisses sont publiés sur les réseaux sociaux et parfois intégrés aux émissions.

• Notre histoire avec l’esport a débuté pendant la période du Covid, car nous n’avions plus beaucoup d’événements sportifs. Nous avons travaillé avec certains de nos partenaires, notamment sur la Formula E et le WEC World Endurance Championship. Championnat du monde d’endurance. . Cela faisait sens avec notre ligne éditoriale.

• Nous réfléchissons actuellement à différentes solutions et différents projets à mener sur l’esport, sans trop s’éloigner de notre ADN et tout en s’assurant que cela fasse sens avec notre offre. Nous devons également développer un business model qui soit viable pour toutes les parties prenantes. »

Géraldine Pons, directrice des sports d’Eurosport France

Géraldine Pons


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Parcours

Eurosport France
Directrice des Sports
Eurosport
Journaliste
TF1
Journaliste / rédactrice - présentatrice

Fiche n° 46532, créée le 23/06/2022 à 10:52 - MàJ le 04/10/2024 à 10:58

« Utiliser Twitch pour intéresser les fans de manière plus lifestyle en mixant les sous-cultures du gaming et de l’entertainment Désigne l’industrie du divertissement (TV, musique, cinéma, jeux vidéo, etc.) et par extension le sport  » (F. Jacob, FFT Fédération française de tennis )

Florian Jacob - ©  Seb Lascoux

• « Nous n’avons pas de chaîne Twitch, car nous n’avons pas les ressources et ce n’est pas notre métier. Par contre, utiliser la plateforme pour intéresser les fans de manière plus lifestyle en mixant les sous-cultures du gaming et de l’entertainment, cela nous parle.

• Nous concevons des produits et les poussons avec nos streameurs partenaires. Ils permettent aux fans mais aussi aux médias de rentrer dans un univers différent, comme c’est le cas avec Domingo pour le padel. Un ambassadeur permet de mettre la discipline en avant, et c’est très important pour le padel, qui n’a pas de tête d’affiche française. »

« Nous sommes, avec le Rolex Paris Masters Tournoi ATP Masters 1000 disputé à l’Accor Arena de Paris-Bercy jusqu’en 2024. Déménagement à Paris La Défense Arena à partir de 2025. Accord de partenariat titre avec l’horloger Rolex depuis le… , le seul Masters 1 000 à diffuser les matches de qualifications »

• « Avec Eurosport, nous menons un projet depuis deux ans. Nous sommes, avec le Rolex Paris Masters, le seul Masters 1 000 à diffuser les matches de qualifications, avec un plateau composé de spécialistes et d’influenceurs, comme Zack Nani. Cela permet de rentrer dans des thématiques différentes de la télévision traditionnelle.

• Les communautés de streameurs ne veulent pas seulement un ton décalé, de proximité, même si le lien de transparence est important. Le niveau d’expertise compte beaucoup.

• Pour Roland-Garros, nous travaillons avec nos droits, nos archives, avec une stratégie à l’année. Ce sont des contenus monétisés, avec des formats différents, mais axés sur le sport. »

« Les “Roland-Garros eseries by Renault” sont le plus gros événement d’etennis au monde »

• « Les “Roland-Garros eseries by Renault” sont notre programme signature, lancé il y a 6-7 ans. Nous sommes en partenariat avec la référence Tennis Clash. C’est devenu le plus gros événement d’etennis au monde. La résonance se trouve surtout en Asie et en Amérique, et avec la cible féminine qui est atteinte.

• Cela permet d’embarquer nos partenaires Renault et Mastercard, et les finales sont diffusées sur la chaîne Twitch de Samuel Etienne. Nous intéressons les gens à Roland-Garros par un autre prisme que le sport performance. »

Florian Jacob, responsable marketing et activation de la Fédération Française de Tennis

Florian Jacob


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Parcours

Fédération Française de Tennis (FFT)
Responsable marketing et activation
Lagardère Sports
Senior Account Director
JCDecaux
Account Director
Havas Sports & Entertainment
Marketing Communications Manager

Fiche n° 52337, créée le 18/09/2024 à 15:32 - MàJ le 04/10/2024 à 10:58


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